mercredi 11 janvier 2017

Chez les multirotors, il faut aussi avoir la classe !

Il existe des multirotors de toute taille ; on appelle cela des classes. C'est la mesure en centimètres de la distance maximale qui sépare 2 moteurs (hors hélice et généralement en diagonale).

La question est donc : quelle classe pour démarrer ? 


Out les pico, nano, mini et micro, tous de moins de 250 mm (la première des classes) qui sont plutôt des jouets et ne peuvent voler qu'en intérieur.

La classe 250 est majoritairement celle des racers, multirotors optimisés pour les courses, très souvent en FPV (First Person View) c'est-à-dire avec une caméra embarquée qui permet de voir en temps réél ce que "voit" le drone et permet le vol en immersion.

Il est généralement admis qu'à partir de la classe 800, on sort du domaine des drones de loisirs.

Mon choix se portera donc vers un multirotor de classe 330 ou 450, réputés accessibles aux débutants et capables d'emporter des charges raisonnables comme des caméras type GoPro.
Les célèbres DJI Phantom ou Parrot Beboop font d'ailleurs partie de ces classes.

Je me dis aussi que mon premier multirotor devra encaisser quelques coups, j'ai cru comprendre que l'apprentissage du pilotage ne se faisait pas sans quelques crashs, nécessaires pour progresser.

Je me dirige donc de plus en plus vers un chassis (frame) de classe 450 comme le F450 de DJI (l'inventeur du Phantom). Il en existe beaucoup de clônes et les pièces sont faciles à trouver. La frame est également facilement personnalisable (il suffit de chercher sur youtube).


frame DJI F450

Ceci étant fait, maintenant le choix des moteurs...


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