dimanche 29 janvier 2017

Et mon châssis sera... un S500 !

Mon choix est fait ! 

J'ai commencé par regarder les frames de classe 450 pour leur polyvalence. Dans cette classe, 2 modèles ont longtemps retenu mon attention : le F450 de DJI (et ses différents clones chinois) et le SK450, en particulier pour son adaptation "dead cat".


frame F450 DJI
F450 DJI

frame SK450
SK450 (Hobbyking)
frame SK450 "Dead Cat"
Conversion "dead cat" pour SK450

Le F450 est très facile à trouver et peu cher, notamment pour les pièces de rechange. Mais j'ai peur de manquer de place pour installer divers équipements.

Pour le SK450,  c'est plus difficile, notamment si l'on veut la frame de base et l'adaptation sur le même site. Petit point faible du SK, la frame n'inclut pas, de base, la plaque version "PCB" c'est-à-dire avec le circuit intégré pour la connexion des ESC et de la batterie.

J'en ai donc choisi un autre, un peu plus grand, avec PCB et un train d'atterrissage qui lui donne un look sympa à un prix raisonnable : le S500.


frame S500

C'est donc celui que j'ai commandé, détail dans mon prochain article 😀


lundi 23 janvier 2017

J'ai choisi le contrôleur de vol

Le contrôleur de vol est le cerveau d'un multirotor. C'est lui qui va faire en sorte, avec ses divers capteurs (accéléromètre, gyroscope, magnétomètre, baromètre...) de maintenir l'appareil stable.

Il en existe de plusieurs sortes, propriétaires (comme le Naza de DJI qui équipe les Phantom) ou plus "ouverts" comme ceux basés sur le circuit Arduino (ArduPilot Mega, PX4), sur un circuit tiré de la console Wii Motion Plus (MultiWii, Naze32, NanoWii, Flip32+...) ou encore OpenPilot (CC3D).


Alors, lequel choisir ?


Pour me décider, je suis allé visiter la boutique STUDIOSport de Boulogne. J'avais quand même une idée en tête : Naza ou APM/Pixhawk.

Et après presque une heure de discussion avec des gens passionnés, la conclusion est rapide : "oubliez le Naza, trop propriétaire et trop fermé. Si vous voulez vous amuser, et il semblerait que ce soit ce que vous cherchez, prenez un PixHawk !".


pixhawk

dimanche 22 janvier 2017

Déballage de la Turnigy 9XR Pro

Aujourd'hui, découverte de ma radiocommande : quelques photos !



Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro
Installation de la mousse adhésive fournie dans le compartiment batterie
Turnigy 9XR Pro
Ainsi que sur le couvercle du compartiment batterie (pour limiter le jeu de la batterie dans son logement)
Turnigy 9XR Pro
Batterie installée
Turnigy 9XR Pro

Turnigy 9XR Pro
Et voilà !





lundi 16 janvier 2017

Anatomie d'un multirotor

Pour construire un multirotor, il est nécessaire de comprendre ses différentes composantes. Une occasion aussi pour apprendre le vocabulaire qui va avec 😀


Anatomie d'un drone

Un multirotor de base se compose de ces éléments :
  • un châssis
  • des moteurs (brushless de préférence)
  • des hélices (dont le diamètre et le pas sont à définir en fonction du moteur)
  • des contrôleurs de vitesse des moteurs (ESC)
  • un contrôleur de vol : c'est l'intelligence du drone
  • un récepteur radio qui va recevoir les "ordres" de la radiocommande (2,4 GHz)
  • une batterie LiPo 3S ou 4S (1S est une cellule fournissant 3,7V)
  • une unité de puissance (PMU) si les ESC ne sont pas munis de BEC (Battery Eliminator Circuit) pour fournir du 5V et éventuellement une carte de distribution du courant
En complément, on peut lui ajouter :
  • un GPS (connecté au contrôleur de vol)
  • une caméra FPV (permettant de visualiser ce que "voit" le drone)
  • un transmetteur vidéo (5,8 GHz)
  • un support permettant d'embarquer une caméra vidéo (type GoPro)
  • des capteurs de mesures
  • un OSD permettant d'ajouter des informations type télémesures dans la vidéo
  • ...
Et pour que tout cela fonctionne bien :
  • de la gaine thermorétractable
  • des colliers de serrage en plastique
  • des vis, des entretoises

samedi 14 janvier 2017

mercredi 11 janvier 2017

Chez les multirotors, il faut aussi avoir la classe !

Il existe des multirotors de toute taille ; on appelle cela des classes. C'est la mesure en centimètres de la distance maximale qui sépare 2 moteurs (hors hélice et généralement en diagonale).

La question est donc : quelle classe pour démarrer ? 


Out les pico, nano, mini et micro, tous de moins de 250 mm (la première des classes) qui sont plutôt des jouets et ne peuvent voler qu'en intérieur.

La classe 250 est majoritairement celle des racers, multirotors optimisés pour les courses, très souvent en FPV (First Person View) c'est-à-dire avec une caméra embarquée qui permet de voir en temps réél ce que "voit" le drone et permet le vol en immersion.

Il est généralement admis qu'à partir de la classe 800, on sort du domaine des drones de loisirs.

Mon choix se portera donc vers un multirotor de classe 330 ou 450, réputés accessibles aux débutants et capables d'emporter des charges raisonnables comme des caméras type GoPro.
Les célèbres DJI Phantom ou Parrot Beboop font d'ailleurs partie de ces classes.

Je me dis aussi que mon premier multirotor devra encaisser quelques coups, j'ai cru comprendre que l'apprentissage du pilotage ne se faisait pas sans quelques crashs, nécessaires pour progresser.

Je me dirige donc de plus en plus vers un chassis (frame) de classe 450 comme le F450 de DJI (l'inventeur du Phantom). Il en existe beaucoup de clônes et les pièces sont faciles à trouver. La frame est également facilement personnalisable (il suffit de chercher sur youtube).


frame DJI F450

Ceci étant fait, maintenant le choix des moteurs...


dimanche 8 janvier 2017

J'ai choisi ma radiocommande !

Quelque soit la taille et la forme du multirotor que je choisirai de monter, il me faudra une radiocommande. D'ailleurs, celle-ci est d'autant plus nécessaire que je souhaite faire de l'apprentissage sur simulateur avant de me lancer "en vrai".

Comme je l'ai déjà constaté en furetant sur quelques sites spécialisés, les marques sont nombreuses et il y en a à tous les prix : Futuba, Spectrum, FrSky, Turnigy, etc... j'en oublie forcément. Difficile de faire son choix même si la FrSky Taranis x9d a l'air de plaire à bon nombre.

FrSky Taranis 9xd
FrSky Taranis x9d

Mais autour de 250€ la bête, c'est un peu lourd pour un premier investissement.

Je suis sûr que l'on peut trouver pour la moitié de ce prix !

Mes critères sont les suivants :
  • plus de 6 canaux, il semblerait que 5-6 soit un minimum
  • mode 2, plus facile apparemment
  • batterie plutôt que piles
  • compatible avec plusieurs émetteurs/récepteurs
  • possible d'enregistrer plusieurs appareils 
  • écran pour afficher des informations comme celles de la télémétrie

J'ai trouvé celle-ci : la Turnigy 9XR Pro
Turnigy 9xr Pro
Turnigy 9XR Pro

Autour de 100€, en promo en ce moment chez Hobbyking.

Avec la batterie Lipo et les frais de port : 99€

Mission réussie ! :-)


[mise à jour du 12/01/2017]
Radio reçue avec 35€ de frais de douanes en sus...

samedi 7 janvier 2017

Saine lecture : Les Drones de Loisirs

Les drones de Loisir par Frédéric Bottom (helicomicro.com)

Les drones de loisirs couverture livre

Disponible sur Amazon, 22€

Pourquoi un drone DIY ?

DIY Drone img

Construire un drone toi-même ? Mais pourquoi ?

Si je fais un article sur cette question, c'est qu'elle m'a été posée et à juste titre. Le phénomène est en pleine expansion (malgré le durcissement de la législation, j'y reviendrai dans un article dédié ultérieurement), l'offre n'a jamais été aussi importante et les prix baissent régulièrement sur les drones "prêts à voler".

Mon approche en la matière est double et consiste à trouver du plaisir aussi bien dans la phase de construction que dans la phase d'utilisation. J'imagine que ce sont les fondements de tout aéromodéliste. Car oui, je considère cette pratique comme étant de l'aéromodélisme. D'ailleurs, une rubrique est consacrée aux multirotors sur le site de la fédération.

Il y a aussi d'autres motivations : le plaisir de construire et d’assembler, le choix des composants et le fait de comprendre à quoi ils servent, le choix du budget à y consacrer, la possibilité d’y aller en douceur et de faire quelque chose d’évolutif.

En furetant sur le web, j'ai trouvé cette définition dans laquelle je retrouve bien ce que je veux faire (source) :

« Do It Yourself » « Faites-le vous-même » , qui est désormais communément utilisé pour signifier « personnaliser ». Ceci implique normalement l’utilisation de pièces d’un grand nombre de fournisseurs différents et la création ou la modification de pièces.

Ne reste plus qu'à trouver les pièces et pour cela il faut choisir le type et la forme de mon premier multirotor.

jeudi 5 janvier 2017

Pourquoi ce blog ?

Blog img

L’objet de ce blog est multiple.

Débutant dans le monde des drones, et qui plus est dans celui des drones à construire soi-même, je souhaite partager les étapes de mon « aventure » : mes réflexions, mes choix, mes idées, les sources que j’ai consultées et utilisées, mais aussi des photos et peut-être des vidéos de l’étape de construction et je l’espère celles de la phase de vol.


J’attends aussi des commentaires, des idées et des avis de votre part pour m’aider à avancer.


Ce blog n’est donc pas dédié aux drones au sens large, il y en a déjà suffisamment, et je n’en ai ni la compétence ni la prétention.

En revanche, je partagerai volontiers les sites, blogs et forums qui m’auront aidé dans mon projet et je m’excuse par avance auprès de ceux que je n’aurais pas consultés.

C’est également pour moi une manière de centraliser les informations, notes, etc… que j’aurais pu collecter au travers des favoris web, Evernote, Keep, Youtube, Pinterest et  autres sites personnels ou professionnels. 

J’espère que vous y trouverez également un intérêt pour vous-même.

Enfin, il s’agit également pour moi de créer mon premier blog. Alors je vous remercie d’être indulgent. Et je prends aussi tous les avis sur ce sujet, même les critiques (positives et respectueuses il va de soi).


mercredi 4 janvier 2017

La vidéo qui m'a donné envie de me lancer

Drone Addict : reportage Game One sur les drones et le FPV racing

 

Au commencement...

Dino lego

Au commencement, il y avait les dinosaures. [ désolé, je n’ai pas pû m’en empêcher ]

A vrai dire, au commencement il y a un article que j’ai publié sur facebook :

" Les amis, je me lance dans un nouveau projet : construire un drone, ou multirotor pour les puristes.

Je suis attiré par ces bestioles volantes depuis longtemps mais sans franchir le pas. Et puis, je suis tombé par hasard sur cette vidéo : https://youtu.be/5MiBUR6TW18 (elle est un peu longue mais je vous la conseille). Et là je me suis dit : le voilà mon nouveau projet pour 2017 ! (ben oui, bonnes résolutions oblige).

J’ai toujours voulu me lancer dans l’aéromodélisme mais ma dernière expérience -avec un vrai hélico qui a volé en tout à peu près 30 secondes en 3 essais de vol- m’a laissé une grande frustration. Et puis le bricolage, la création, l’électronique, l’informatique, les trucs de geek et en “ique” c’est tout moi non ?

Alors c’est décidé. Ne reste plus maintenant qu’à commencer proprement le projet : se documenter (je n’y connais absolument rien), préciser le cahier des charges et le budget. Pour le planning, on verra, c’est du temps perso mais il faut qu’il soit terminé pour les grandes vacances.

J’ai déjà ma petite idée : un quadricopter, plutôt polyvalent, pilotage FPV (First Person View), transportable, évolutif, facilement réparable et si possible joli.

Je vais sans doute ouvrir un blog pour partager cette nouvelle aventure. Si vous avez des connaissances dans le domaines, des infos à partager et des bons plans, je suis preneur ☺ "

Et voilà, le blog est ouvert !